Collection Jeune – Vieux. 45 Ans De Différence (2/2)

• Tu aimes que je te suce le clito.

Mon clito qui s’enflamme alors que depuis le temps, j’étais persuadé que c’était impossible.
Ou cette sensation que je décolle va-t-elle m’emmener avec ces débordements ?
Merde, qu’est-ce cette sensation nouvelle pour moi.

À 63 ans, j’ai accepté de recevoir Claude, le petit-fils de mon amie Colette.
Dès son arrivée, j’ai senti un courant passer entre nous.
Mais rapidement je me suis reprise, 45 ans entre nous, je serais folle de penser que ce jeune garçon, pourtant majeur, aie envie d’une vieille peau comme moi.
Fellation pour lui et début de cunnilingus pour moi.
C’est au milieu de mon léchage de chatte que je ressens une sensation nouvelle pour moi.
Comme je l’ai dit, l’éjaculation précoce de Bob m’a habitué à jouir rapidement.
Ce qui monte en moi, est différent.
La petite décharge toujours ressentie à ce jour est remplacée par une boule qui grossit, grossit.
Boum, la boule éclate, l’orgasme est si puissant que je quitte mon corps.
Je suis surprise qu’il fonctionne encore après tant d’années.
Maintenant, le moment où je vais sentir si cette verge qui s’approche de ma fente va trouver sa place, étant donné le volume que je lui ai fait atteindre.
À chaque fois avec Bob, la pénétration était un calvaire tellement la plupart du temps, j’étais sèche.
Ce soir, au moment où le soleil se cache, le liquide sortant de ma chatte est si abondant qu’en deux poussées, Claude refait de moi une femme.
J’ai l’impression de vivre un dernier dépucelage, le sang abondant de ma première fois avec Bob en moins.
Qui eut pu croire qu’à mon âge, je ceinture ses reins avec mes jambes pour l’attacher à moi.
La peur qu’il est du remords sur notre différence d’âge et que cela lui fasse prendre ses jambes à son cou.
Un seul point quand il me prend, la position, une nouvelle fois avec Bob, je lui vidais les couilles, mince la prof des écoles finit par avoir un langage que la morale réprouve.


La vie est courte, dans mon cerveau, le mot « couille » résonne comme le monde nouveau et surtout la femme nouvelle que Claude est en train de faire de moi.
Il est en train de me sortir de la torpeur ou mon défunt mari m’avait enfermé.
Depuis combien de temps, Claude me baise-t-il ?
Je l’ignore, mais mes vieilles cervicales me le rappellent.
Je pourrais prendre l’initiative de le repousser pour changer de position, mais la peur maladive d’être abandonné fait que, stoïquement je supporte ma douleur.
Douleur et plaisir, car le traitement que me fait subir sa verge comme sa langue l’a fait tout à l’heure me permet de planer à dix mille.
Une boule avec sa langue, deux boules consécutives avec sa verge.
Mon corps est aux anges, surtout qu’il ignorait qu’un tel plaisir était possible.
Il m’aura fallu 63 ans de vie de femme, de frustration de vie de femme pour être révélé par un garçon de 19 ans.
Je sais, je parle de 45 ans de différence d’âge, mais demain c’est notre anniversaire, je sais que nous sommes nés le même jour.
Enfin, mon vagin est arrosé, dans un éclatement comme un feu d’artifice.
Nous écroulons dans les bras l’un de l’autre.

• Juliette, c’était divin.
• Pour moi aussi, Claude, mais comment sais-tu à ton âge satisfaire une femme comme, tu viens de le faire !
• Je vais te choquer, mais aussi ça va te faire comprendre pourquoi j’ai eu un coup de foudre pour toi dès que je t’ai vu.
• Me choquer, à mon âge, tu rigoles.
• J’ai eu deux femmes dans ma vie, toutes les deux étaient déjà âgées.
Suzette, 58 ans, c’est le jour où elle a pris sa retraite de secrétaire de la boîte où je venais d’être embauché au lendemain de mes 16 ans.
Elle m’a appris beaucoup de choses, mais pour sa retraite, son mari l’emmenait au Portugal la vie étant moins chère pour des retraités.
• Elle était donc mariée et a trompé son mari !
• Oui, pendant trois mois, elle avait un peu trop bu et je l’ai raccompagnée.

Son mari était hospitalisé pour se refaire, faire les dents.
Moi je me suis fait prendre mon pucelage et pendant les trois mois avant leur départ, chaque fois que nous le pouvions nous nous retrouvions.
• Deux femmes, avant moi, l’autre, elle était jeune ou plus jeune !
• Vieille, très vieille.
• Plus vieille que moi.
• On a l’âge que l’on veut bien avoir, elle avait cinq ans de plus que toi.
• Ah je vois, tu aimes les vieux croutons !
• Vieilles croutonnent, tu rigoles, j’aime les femmes avec de l’expérience et non les midinettes qui font semblant de jouir croyant satisfaire leur mec.
Simone a complété mon éducation faisant de moi le garçon que tu as eu dans tes bras.
Elle aussi m’a quitté, son fils l’a mise dans une EHPAD, ou il est impossible que nous nous voyions intimement.
• Alors, quand tu m’as vu, tu t’es rabattu sur moi pour une nuit.
• Pourquoi une nuit, j’ai trois semaines de congé, si tu le veux, je peux rester ici au lieu de partir pour l’Italie ?
À part une location, je serais gagnant de rester près d’une femme comme toi avec une telle expérience.

Je le sers sur mon vieux cœur.

• Si tu savais ce que j’ai appris ce soir, c’est toi qui m’en as fait connaître mille fois plus avec ta bouche et ton sexe que moi pendant toutes mes années.
J’allais mourir sans savoir ce qu’était le grand frisson.
Tu me l’as fait connaître, mon mari a été incapable, pendant toutes les années de notre mariage, à me le faire découvrir.
Bien sûr que tu peux rester le temps que tu le désireras et plus si tu le veux, j’ai de quoi nous faire vivre une vie tranquille de nombreuses années, jusqu’à ce que tu me ferme les yeux Claude.
• Pour ça si tu permets on va prendre le temps.

Je me mets à rire en voyant la pendule qui nous a été offerte lors de mon mariage avec Bob.
Cette pendule, c’est le genre de cadeau inutile que des âmes bien intentionnées vous offrent.

Chaque fois que vous la regardez, vous vous dite, qu’est-ce qu’elle fou encore là.
À votre décès, vos s la donneront pour la Kermesse du village en lot de la tombola.
Ainsi, d’autres là gagneront et elle continuera à battre les heures.

• Pourquoi ris-tu, j’ai dit quelque chose de drôle ?
• Non, mon chéri, je viens de voir mon affreuse pendule et je viens de penser que depuis le début de sa diffusion, c’est la première fois que je loupe « plus belle la vie. »
• Toi aussi tu suis ce feuilleton.

Il éclate, lui aussi de rire.

• Tu te moques !
• Non, moi aussi je regarde cette saga tous les soirs sur France 3.
Je regarde aussi les « feux de l’amour, » mais souvent je loupe des épisodes à cause de mon travail.

Nous éclatons de nouveau à rire.
Le courant passe entre nous, la différence d’âge semble aplanie.

Allant nous coucher, je reste éveiller une bonne partie de la nuit, pourtant Claude m’a crevé.
J’ai perdu l’habitude d’avoir un homme dans mon lit.
Et quel homme.
De plus, il a tendance à ronfler.
Les stores au matin laissent passer des raies de soleil.
Nu, sa queue m’attire, j’ai aimé le sucer contre toute attente, jamais au grand jamais avant une telle idée me serais venu.

• Oh ! Juliette, continue, ta bouche est divine.

Ça fait trois jours que chaque matin, le même rituel se reproduit.
Je prends sa verge qui gonfle dans ma bouche et dès qu’elle est prête, il vient me prendre fougueusement.
Hier, une fois levé, je pensais l’avoir crevé, mais c’était mal le connaitre.
Le café terminé, je nettoyais la table aussi nue que lui.
Mes seins légèrement tombants, vu mon âge, se balançaient de droite et de gauche.
Il s’est levé, ma ceinturé par-derrière et ma prise là, mes seins finissant de balayer la table à chaque grand coup de bite qu’il me donnait avec beaucoup de conviction.
Il serait mon héritier, je pourrais croire qu’il veut me de plaisir pour le toucher.


• Juliette, si nous allions à la mer, j’ai envie de bouger.
• Tu sais, moi, le sable et la promiscuité avec toutes ces familles et leurs s qui vous en balancent sur vous, j’évite d’y aller, je préfère ma terrasse plein sud.
Mais je vais faire un effort, j’appelle les plagistes pour réserver deux transats.

Je mets mon maillot, une pièce, non, ça fait mémère.

• Oui, celui-là, il te va à ravir.

Maillot deux pièces que je mettais du temps de Bob, je suis sûr qu’il va m’être impossible de rentrer dedans.

• Il est parfait, je vais être très fière d’être à tes côtés.

Nous sommes sur la plage, la dernière fois où je m’y suis installé, remonte au temps du disparu.
Derrière mes lunettes de soleil, je suis en train d’admirer la musculature de mon amant de 18 ans.

• Tu viens te baigner !
• Non, vas-y, je suis bien, sur ces planches, je t’ai dit mon aversion pour le sable.

Il se lève, viens me donner un baiser sous le regard de nombreuses personnes sans sembler se poser la moindre question.
Des voisins et voisines semblent offusqués que je m’affiche avec mon amant sur leur plage, mais je m’en bas ce qui me manque entre mes jambes.
Arrivée dans l’eau, il plonge directement.
Dans un crawl puissant, il dépasse les bouées de sécurité pour revenir quelques minutes après vers la plage me rassurant, car là où il était, des jets se croisent et se recroisent.
Lorsqu’il sort, trois jeunes belles naïades viennent lui parler.
Ça dure, je suis morte de jalousie.
L’une d’elles porte un sac de plage, en sort un stylo.
Claude écrit sur sa main, les saluts et revient vers moi.

• Chérie, je me suis fait draguer, l’une d’elles m’a donné son numéro pour que je les retrouve pour aller en boîte.
Voilà c’est fait, ce soir tous les deux restos, même si on loupe plus belle la vie.
J’ai envie de toi et d’un bon plateau de fruits de mer.

Douches ensemble, sa queue en profitant pour m’honorer.
Resto et chose incroyables, il me baise dans ma voiture au risque que nous nous faisions prendre par la maréchaussée.
Certes, c’est ma voiture, une grosse Audi assez spacieuse pour ce genre d’exercice à trente ans maxi qu’à soixante-trois, mais une nouvelle fois il me fait envoler vers les étoiles de la nuit.

Voilà, j’arrive au bout de mon histoire avec mon jeune amant, il est chez nous définitivement.
Il a repris ses études sous mon contrôle, pour commencer le bac.
Nous avons un an avant de trouver son orientation.
Il tient à travailler pour satisfaire celle qu’il a demandée en mariage.
J’admire la bague qu’il m’a offerte en vendant sa vieille voiture.
Je l’admire dans notre piscine que je nous ai fait construire devant la terrasse.
Je suis appuyé à la margelle sa queue en moi après l’avoir sucé en plongée sous-marine.
Et dire que je pensais avoir fait une connerie en acceptant la venue de Claude pour passer une soirée.
Ce soir, une dernière étape à franchir.
L’arrivée de Sabine, sa maman.
Elle est divorcée et a trente-six ans.
Nous allons lui annoncer notre mariage, Colette sa mère, qui je le rappelle à mon âge, lui a simplement dit que Claude restait chez moi pour ses études.

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